Réveil matinal (comme chaque matin en fait) pour notre dernière nuit sur l’Ile de Texel.
Nous décidons de faire un tour de ce très grand camping que nous n’avons qu’entraperçu car notre tente se trouvait près de l’entrée (emplacement 1, sur plusieurs centaines), là ou sont installés de très luxueux bungalows.
Car, oui, les néerlandais aiment le camping, mais surtout s’il sont dans un gros camping-car ou un cabanon tout confort. La majorité des emplacements dans les campings que nous avons croisés étaient occupés par des bungalows permanents.
Puis nous replions la tente, demandons à Arthur de nous acheter un pique-nique pour le déjeuner et partons rejoindre le quai de départ du ferry pour Den Helder.
Arrivés au ferry nous voyons le bateau se détacher doucement du quai. Le prochain est dans une heure… Pas de chance.
La traversée (20 minutes) ne nous laisse même pas le temps de finir notre déjeuner parmi les mouettes du pont supérieur.
Nous reprenons notre route avec à notre gauche la digue et à droite la mer. Le revêtement est mauvais et il y a un peu de vent, ce qui nous fait perdre notre bon rythme.
Notre chemin passe ensuite par les dunes de sable et d’herbes où nous redécouvrons la difficulté des montées et des descentes… C’est la première fois depuis notre départ que nous avons aussi peu de plat sur quelques kilomètres.. Comme la forêt hier, ça fait tout drôle.
À 14h, nous arrivons dans un camping où nous attend une piscine chauffée et dotée d’un grand toboggan comme à Enkhuizen et je peux vous dire qu’Arthur en a bien profité !
Sinon au niveau technique, pour nous repérer sur notre chemin nous utilisons deux outils (en plus de l’iPhone) que nous ne vous avions pas présenté : le compteur de vitesse (vitesse, moyenne, kilométrage…) ainsi qu’un petit bouquin (fait maison) reprenant pas à pas l’itinéraire que nous vous avions présenté dans un article avant le départ.
Petite anecdote que nous avions oublié de raconter hier, alors qu’Arthur jouait sur une aire de jeu, il a interpellé une petite néerlandaise d’un très spontané : « Coucou ma biquette ! ». Heureusement, elle n’a rien compris !
Aujourd’hui, nous avons parcouru 22,4km avec une vitesse moyenne de 11,7km/h… Et on est là :
Ça continue donc d’être très sportif. Evolution du tour de mollet entre le 14 et le 27 août ?
Et que dit Marie-Aude de tout cela ?
Quelles sont vos impressions ?
Bon dîner à tous les 4.
Pas grand chose de plus que ce qui est raconté ici. À part que je suis surprise par les fermes qui ont l’air beaucoup plus cossues et propres que ce qu’on voit habituellement en Normandie, par les petits néerlandais qui sont vraiment tous très très blonds, par la simplicité de circuler partout partout en vélo, et par le fait que nous avons croisé aucun autre Français depuis la limite du guide du routard qui fait Amsterdam et ses environs..
Tout va bien !
Marie Aude
A en croire le drapeau sur la chariole, le vent vous est favorable.
Merci pour le beau cartagram reçu aujourd’hui. On n’arrète pas le progrès !
Qu’est-ce qu’il tient dans la main le biquet qui fait les courses ?
Oui c’est bien un truc Kinder mais il ne sait même pas ce que c’est ! Il attrape juste ce qui est à sa hauteur.
Et je suis sûre que vous ne lui avez même pas acheté… Pôv biquet !
Où Arthur a-t-il appris à draguer les filles ?
C’est chouette d’avoir les impressions de Marie-Aude! Profitez bien!
Alice